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Conférence de presse Rachida DATI

  • Conférence de presse de Rachida DATI à ARRAS, le 14 juin 2007.

Soirée Atria le 5 juin 2007

  • Grande réunion publique du mardi 5 juin 2007 à l'Atria - ARRAS

Rando avec Philippe RAPENEAU

  • Randonnée avec Philippe RAPENEAU, le 2 juin 2007.

Conférence de presse Jean-Pierre RAFFARIN

  • Conférence de presse de Jean-Pierre RAFFARIN à la permanence de campagne de Philippe RAPENEAU le 23 mai 2007.

Réunions publiques

  • Réunions publiques à Beumetz Les Loges, Hermies...

Réunion avec les jeunes

  • "L'after"
    Réunion avec les jeunes populaires à la permanence de campagne de Philippe RAPENEAU - Le 11 mai 2007.

Inauguration de la permanence

  • Jean François COPPE et Philippe RAPENEAU
    Inauguration de la permanence de campagne par Jean-François COPE

Rama YADE à ARRAS

  • Les jeunes populaires
    Rama YADE, Secrétaire nationale de l'UMP chargée de la francophonie à ARRAS, le 31 mars 2007.

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11 mai 2007

Commentaires

Tibullus

J'espère que Frédéric Leturque ne fera pas l'erreur de se présenter en "candidat indépendant" du nouveau M.D., au risque de faire perdre la droite dans la 1ère circonscription (s'il ne vous soutenait de façon claire au second tour, ou s'il se maintenait au cas où il ferait plus de 12.5 % des inscrits, ce qui serait vraiment politiquement illisible), oubliant que Jean-Marie Vanlerenberghe s'est fait élire à Arras par la droite, contre la gauche... La prise du pouvoir à Arras par l'UDF n'est pas le fruit d'une victoire de l'"hyper-centre" pur, juste, moral, contre les méchants partis idéologiques de la droite et de la gauche. En 2001, le maire, et c'est normal, a été clairement soutenu par le RPR. Il ne faudrait pas croire qu'il peut regagner en Mars 2008 sans le soutien de l'UMP, dans une ville majoritairement de gauche, mais qui préfère l'efficacité de la gestion par une équipe de droite, d'autant plus qu'elle est modérée par le centre (touchant un spectre plus grand d'électeurs)...

Poursuivre la politique illusoire du "ni-droite, ni-gauche", fédér sur des bases peu solides, c'est encourager les dissenssions au sein de la majorité municipale, et donner plus de crédibilité au PS pour 2008, qui aura beau jeu de critiquer l'incohérence du candiadt. Combattre de façon regroupée dès aujourd'hui, c'est se préparer à une élection où rien n'est joué (d'autant plus qu'en 2001, la droite et l'UDF étaient dans l'opposition, ce qui offrait à la campagne un certain air d'alternance, alors qu'en 2008, avec un epu d'espoir, cela fera six ans que la France est dirigé par une équipe de droite).


Tibullus

Benoît

Quelle bonne soirée et quelle bonne victoire ! On a bien fêter ça ! Espérons que nous refassions de même le 18 juin ;)

Benoît

(re)Bonsoir, j'ai oublié, sympa le montage vidéo !

François-Xavier

Un grand moment d'émotion et de convivialité cette soirée du 6 mai...
Avec à la clé une belle victoire de notre candidat, Nicolas SARKOZY, fêtée comme il se doit par les jeunes, par ailleurs fortement impliqués dans toute la campagne des présidentielles.
Il nous faut maintenant profiter de cette dynamique et nous engager pleinement derrière Philippe RAPENEAU sur la 1ère circonscription.

Tibullus

Trouvé sur le site de Frédéric Leturque :
"Avec des élans gaulliens, il a clairement affirmé ne pencher ni à droite, ni à gauche, mais être déterminé à tracer une nouvelle voie pour le Pays."

Je voudrais juste souligner le ridicule absolu d'une telle affirmation : le Général De Gaulle était tout sauf conciliant, et ne pratiquait pas le "ni-droite, ni-gauche" inconsistant de François Bayrou. Dans les années 60, la bipolarisation de la gauche est presque aussi importante qu'aujourd'hui : l'UDR, la FGDS et un petit centre, le CDS, de Jean Lecanuet. A l'époque, on est soit "pour De Gaulle", soit "contre De Gaulle", et le général n'a jamais tenté la conciliation avec le parlement, essayant de faire naître des "contre-pouvoirs" (et encore moins des pseudo-contre pouvoirs à la Bayrou) : soit la France adhère à ses idées "de droite", soit il démissionne. Ou il peut encore dissoudre l'assemblée quand celle-ci vote la motion de censure contre le gouvernement Pompidou, pour ensuite le représenter dans une chambre acquise à l'UDR.

Même si les pratiques gaullistes étaient celles d'un autre temps (quand il fallait redonner à la France une synthèse politique populaire), on a quand même du mal à voir le rapport entre la "multipolarité" du MD, qui entend présenter un projet de République parlementaire, et régime profondément personnalisé à la De Gaulle, qui refuse tte compromission idéologique et négociation de parlement : l'assemblée nationale et ses atermoiements, il n'en a que faire.

On pourra nous répondre que Sarkozy a fait référence à Léon Blum, mais ce n'est pas en déformant son propos, ou en plaquant des propos qui n'étaient pas les siens : Sarkozy n'a pas fait de Blum ou de Jaurès des chantres de la modernisation sociale française, ou du bouclier fiscale..., mais voulait plutôt montrer que la valaur travail est partageable par tous, et vaut la peine d'être défendue.

Ici, chez Leturque, le terme de "captation d'héritage" trouve tout son sens : il ne s'agit pas de défendre De Gaulle, ou de s'en rapprocher (à moins que de sous-entendre que Bayrou n'a que faire de la négociation avec le PS etc., ce qui est encourageant pour le hérault d'une pseudo autre politique qui n'est qu'une autre manipulation électorale pour faire exister un courant très mineur dans l'UDF, à l'origine, les déçus de la SFIO), mais d'en faire un argument d'autorité qui ne se défend pas... C'est affligeant de voir que le MD n'a que si peu de légitimité pour peiner à se trouver un héritage à défendre...

Tibullus

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